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| Discussion sur les jeux de rôles Discussion général sur les jeux de rôles |
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#1 |
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Héro local
![]() Date d'inscription: août 2010
Messages: 103
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Re : Le musée des horreurs...
Oh j'en aurais long à compter ici. Mais disons qu'une des plus désagréables expériences qui m'est arriver, est quand un des joueurs s'emmerdait tellement(et les autres ne trouvaient pas que j'étais si mauvais que ca) qu'il sort son GBA et commence à jouer comme ca drette devant nous en plein milieu de la partie. Il se l'ait fait dire mettons, il s'est excuser et n'à plus recommencer par la suite.
Une des autres les plus mémorables, est malheureusement quelque chose qui à séparer deux bon amis. À ce jour monsieur A ne veut toujours rien savoir de monsieur B, mais monsieur B à vraiment tout essayer pour s'excuser. Enfin pour résumer la situation, monsieur B jouais un prêtre(je ne me rappel vraiment plus quel dieu) et monsieur A un jouais un guerrier nain de type 'slayer' (juste coté coupe de cheveux, vu que ca n'existe pas à d&d), et ils se sont pognés pour je ne sais plus quelle raison, mais à finit avec un sort blessures modérés(inverse de soins modérés) lancé par le prêtre sur le nain, résultant en sa mort. Véritable cacophonie et engueulade s'en suit dans la réalité, et je crois que les deux sont parti frustré. Depuis ce temps, comme je l'ai dis au début du paragraphe, un à essayer de s'excuser maintes fois, mais sans succès, et l'autre ne veut plus rien savoir de lui. |
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#2 | |
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Duc
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Localisation: Rive-Nord/Laval, QC
Messages: 727
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Re : Le musée des horreurs...
Citation:
C'est vraiment un manque de respect. Heureusement les quelques effrontés ont été mis au pas par les autres avant que j'intervienne! J'ai malheuresement vu quelques situations qui ont provoqué la rupture d'amitié... pas fréquent mais cela démontre que les jeux de rôle révèlent bien des parties cachées de notre personnalité! Éli,
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Raised into Darkness, Awaken by Evil.
We shall bring Shadows upon the Light. Je peux franchir les siècles sans jamais parvenir à saisir le temps. Je peux subir milles supplices sans jamais réussir à trouver le repos. Je peux tromper la mort mais la vie ne me sera jamais satisfaisante. Mes ancêtres ont été Maudits et j'en paie maintenant le prix. Telle est ma Damnation. |
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#3 |
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Mécène
![]() Date d'inscription: juin 2010
Messages: 84
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Re : Le musée des horreurs...
Une expérience décevante, ou comment couper l'inspiration à son maître de jeu.
Je suis le genre de DM qui bâtit ses histoires en fonction des personnages que j'ai devant moi, et les backgrounds que les joueurs ont imaginés pour ceux-ci. Tout détail dans un background peut m'inspirer une quête, une déviation dans le flot de l'histoire, un moment qui viendra chercher un personnage en particulier pour le mettre à l'avant-plan. Dans une partie d'il y a quelques années, un des joueurs avait laissé une porte ouverte à mon imagination dans son background. Son personnage avait été enlevé et torturé pendant des années, et il n'avait aucun souvenir des événements de son existence avant sa vie sous la tyrannie de ses bourreaux. Pour un maître de jeu, c'est une occasion unique de créer à partir de cette absence d'un passé connu. Alors que le groupe se retrouve dans la région où le personnage en question a été retenu captif, et que les personnages séjournent dans une ville importante non loin de là, j'ouvre la porte pour le joueur, il n'a qu'à entrer... Par hasard, le personnage rencontre un vieil homme qui croît le reconnaître comme étant le fils d'un vieil ami qu'il n'a pas vu depuis longtemps. Le vieil homme parle de cette connaissance, des bons souvenirs du passé, et évoque même le temps où il embarquait le jeune enfant de son ami sur ses épaules, lui faisait la lecture, etc. Le joueur n'embarque pas, ou très peu dans l'occasion que je lui présente. Son personnage répond au vieil homme qu'il ne connait pas les noms qu'il évoque, et que ses histoires ne lui disent rien. Le vieil homme prend la peine de lui indiquer où travaillait son ami la dernière fois qu'il l'avait vu, et s'excuse s'il a fait erreur, ses yeux le trahissent peut-être, bien qu'il ait une bonne mémoire... Que fait le joueur après avoir quitté le vieil homme? Rien! Il m'indique que son personnage ne suivra pas les indications du vieil homme... Il referme la porte que je venais de lui ouvrir, lui qui avait laissé son passé entre mes mains lors de la rédaction de son background... Amère déception de la part du DM que je suis... Surtout que j'avais imaginé des trucs qui auraient pu être intéressants... Dernière modification par La Chèvre ; 2010-08-19 à 00h39. |
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#4 |
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Mécène
![]() Date d'inscription: juin 2010
Messages: 84
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Re : Le musée des horreurs...
Un autre exemple de situation qui mérite d'être classée dans mes histoires d'horreur.
"Tu as tué quelqu'un sans défense. Tu es evil!" Pour certains, la ligne entre le bien et le mal ne comporte aucune zone grise, pas de nuance, pas de possibilité d'y voir une multitude de zones de gris. Dans un groupe formé de héros qui étaient soit chaotic good ou neutral good, un personnage a commis un meurtre, le meurtre d'un marchand noble qui faisait de l'esclavage dans un royaume qui l'interdisait, utilisant ses caravanes marchandes pour camoufler le tout. Un des personnages, un bard chaotic good, après avoir eu connaissance des agissements du marchand, et qu'une personne qui lui était proche soit tombée dans les griffes de cet homme, est allé rencontrer le marchand pour le défier. Initialement, il ne souhaitait que mettre en garde l'individu, mais sur le coup de l'émotion, et peut-être avec les actions du DM maléfique que je suis Ce qui devait arriver arriva: le bard sorti son arme et tua le marchand, alors qu'ils se trouvaient tous deux dans le salon de celui-ci. Après cet événement, le reste du groupe ayant appris le geste, un des joueurs a débuté, au cours de la partie, une longue (très longue, trop longue) discussion sur le fait que le personnage était devenu evil. Pas de zone grise à son esprit: commettre un acte evil = être evil, peu importe si l'individu tué était un véritable truand, un esclavagiste qui, en raison de son pouvoir et sa fortune, était à l'abri des lois. Tout était blanc, ou tout était noir pour ce joueur. Pas moyen de lui faire avaler le fait que des circonstances particulières avaient amené le personnage à poser ce geste... Une discussion non seulement ridicule, mais en plus elle perturbait la partie... Dernière modification par La Chèvre ; 2010-08-19 à 00h43. |
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#5 |
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Mécène
![]() Date d'inscription: juin 2010
Messages: 84
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Re : Le musée des horreurs...
Commencer une partie sur une mauvaise note...
Le maître de jeu nous avait demandé de créer des backgrounds communs avant le début des aventures. Avec les cinq personnages, nous avions divisé le groupe en deux, en permettant à trois personnages ayant un côté plus "nature" d'avoir un passé récent commun, et les deux personnages provenant de la ville de s'être rencontrés avant le début des aventures. Jusque-là tout était beau. Mais dès la première partie, un problème est apparu. L'un des membres du trio de la nature était un elf scout, que le joueur (un excellent joueur en roleplay avec qui j'ai eu beaucoup de plaisir à joueur) avait décidé de jouer raciste envers les humains et avec un côté assez agressif. En soi, ce n'était pas un problème, mais c'est l'inaction des deux autres membres de son trio qui a engendré une situation problématique. Pour faire une histoire courte, nous nous sommes tous retrouvés à courir après un ennemi dans un endroit sacré de la ville où débutaient les aventures. Nous étions arrivés là pour des raisons diverses, et nos deux groupes ne se connaissaient pas. Lors d'un combat au court duquel nous avons combattu côte-à-côte, nous nous sommes tous retrouvés mis hors combat, pour nous réveiller plus tard dans une cellule de la prison de la ville. Les autorités nous avaient trouvés inconscients dans l'endroit sacré, et les règlements de la ville n'étaient pas tendre à notre endroit... Bref, passons, la situation d'horreur suit peu après. Alors que l'un des hauts dirigeants de la ville nous reçoit pour nous interroger au sujet de notre présence à cet endroit et des circonstances du combat, le scout un brin raciste et agressif fait une crise et menace, verbalement et physiquement l'individu en question. Le problème n'était pas son action et son roleplay, mais l'inaction complète de ses deux compagnons qui n'ont absolument rien dit ou rien fait pour calmer leur compagnon, ou s'excuser pour son comportement... Rien, nothing, niet, nada... Et dans ces deux compagnons, un des joueurs avait un personnage d'origine noble, ce qui ajoutait au ridicule de son inaction envers les menaces proférées contre le noble de la ville. Après cette rencontre, nous devions former un groupe pour retrouver un objet ayant été volé dans l'endroit sacré par le véritable groupe d'ennemis de la ville. Imaginez la superbe façon de commencer une alliance lorsqu'un membre agressif n'est nullement contrôlé par ceux qui sont supposés le connaître depuis longtemps... Ça commençait bien une campagne... |
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#6 |
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Mécène
![]() Date d'inscription: juin 2010
Messages: 84
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Re : Le musée des horreurs...
À noter que les trois cas précédents sont issus du même groupe de joueurs.
Dans les deux premiers cas, j'étais maître de jeu, mais l'expérience que je vivais était tellement peu inspirante (notamment en raison des moments d'horreur, d'un joueur "éternel insatisfait", de power-gaming, etc) que j'avais cédé ma place comme maître de jeu. Le troisième cas, c'est la première partie sous le nouveau maître de jeu. Ça commençait mal. Les cas qui suivent sont également tirés de cette même partie. (Depuis ce temps, je suis beaucoup plus clair sur le type d'expérience de jeu que je recherche lorsque je recherche des joueurs...) |
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#7 |
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Mécène
![]() Date d'inscription: juin 2010
Messages: 84
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Re : Le musée des horreurs...
Les règles appliquées de façon trop rigide
Lors d'un combat qui débutait, une créature se trouve dans un trou et les personnages, à quelques dizaines de pieds de ce trou, ne peuvent pas encore la voir. Le combat débute, et comme aucun personnage ne voit la créature, à moins de s'approcher du bord du trou, les actions sont limitées. L'elf scout est le premier à agir. Il possède le feat "Shot on the run" et le joueur souhaite pouvoir bouger dans la pièce (sans s'approcher du bord du trou) et faire un "delayed action" pour décocher sa flèche lorsqu'il verra la créature sortir du trou. Les règles de D&D 3.5 ne permettent pas ce genre d'action. Soit on bouge, soit on fait un "delayed action". Mais dans ce cas-ci, surtout avec le feat que possède le personnage, ce n'est pas insensé, ni une entorse aux règles d'une importance grave (on ne parle pas d'une action qui va ruiner le combat ou apporter une puissance incommensurable au personnage qui la fait...). Cependant, le joueur "tout est noir, tout est blanc" du groupe ne veut pas céder. Ce n'est pas possible dans les règles, donc ce n'est pas possible pour le joueur, point à la ligne! Ça frustre inutilement le joueur qui joue le scout, qui ne recherche pas la puissance, n'étant vraiment pas un power-gamer (contrairement à l'autre joueur), mais qui recherche avant tout un bon roleplay de son personnage. Que fait le maître de jeu? Il ne tranche même pas! Il ne dit rien et laisse son ami le joueur intransigeant sur les règles contrôler la situation. Pas besoin de vous dire que celui qui jouait le scout était frustré, et que d'autres joueurs ne comprenaient pas l'intransigeance sur une action si bénigne, moi le premier. |
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#8 | |
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Comte
![]() Date d'inscription: août 2012
Messages: 330
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Re : Le musée des horreurs...
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