Hey Kurosawa... pssst! Par ici... ;-)
 

Bah moi aussi mes connaissances cinématographique sont plus superficielle que profonde. Mon frère était une bolle dans le domaine et moi je m'y suis interessé longuement (trop longuement) avant de plonger dans l'informatique mais je suis loin d'être un expert. Je sais ce que j'aime et ce que je n'aime pas et j'ai des opinions tranché sur le sujet. he he he....

Tu as raison je suis un peu enthousiaste quand je place Besson dans le top dix... Mais je ne suis pas d'accord pour dire qu'il copie bêtement. Michael Bay, James Cameron sont des copistes finis qui n'apportent jamais rien de nouveau

Besson film des scenes classique peut-être, mais c'est très dynamique. Le probleme de Besson c'est qu'il se croit maintenant plus bon que ce qu'il est réellement.

Re : Hey Kurosawa... pssst! Par ici... ;-)
 

Là je suis d'accord pour la tête enflé de Besson et pour le fait que j'exagère un peu sur le fait qu'il copie (la comparaison avec Cameron m'a fait réfléchir).

Je dois cependant te laisser car il faut que je me concentre un peu.

à plus

Re: Hey Kurosawa... pssst! Par ici... ;-)
 

Ceci dit je prendrais dix Aliens ou Terminator II avant n'importe qu'elle film d'ados ou d'horreur. He he he....

La beauté d'un forum c'est que la conversation va attendre.

Re : Re: Hey Kurosawa... pssst! Par ici... ;-)
 

Encore là ca dépends... les films d'horreur actuels, effectivement. Les vieux films d'horreurs en noir et blanc, selon mes souvenirs d'enfants impressionnables étaient fort plus effrayants que ceux d'aujourd'hui. Mais parmi les films d'ados les hilarants, clueless est mon préféré.

Re: Hey Kurosawa... pssst! Par ici... ;-)
 

Bon je nuance mes propos... il y a des fils d'horreur (surtout de la période du muet comme Nosferatu ou de le cabinet du docteur caligari) de Murnau ou d'autres films fait par Fritz Lang qui valent cent Terminator.

Mais si toi tu parlait des films de série B avec les Dracula, Frankenstein, La momie et autres patente c'était des films plutot pière cinématographiquement.

Re : Re: Hey Kurosawa... pssst! Par ici... ;-)
 

Vous croyez pas que la technique des trucages en arrive a donner de la crédibilié ( le spectateur s'il voit quelque chose, il y croit ) a des scénario aussi mince que des feuilles de choux.

L'absence de ces trucages dans les classiques en noir et blanc demandait au sénariste de bien amener une scénario "plus crédible" ou "équilibré".

Il me semble que les Dracula avec Peter Cushnig étaient mieux ficelés que ceux plus contemporains. La encore les acteurs y tenaient un rôle, pas une excuse pour amener une longue suite de trucages spectaculaires.

Re: Hey Kurosawa... pssst! Par ici... ;-)
 

La formule du film Hollywoodien est simple et peut-être résumé en quelques mot. Le héros n'est pas encore un héros, un probleme lui tombe dessus, le heros a une faiblesse, le herros passe un purgatoire, le heros reprend le dessus et vainc l'adversité (ou se sacrifie).

C'est tellement classique qu'il y a des étude qui se font sur cette formule et elle est enseigner aux étudiant en cinéma. 75% des films qui fonctionne en salle utilise cette formule ou une variante de cette formule.

Ce n'est donc pas les trucages c'est l'application de cette formule. La matrice 1 la respectait a la lettre, la matrice 2 a contrevenus a cette formule et ca a fait un moins bon film (la fin de ce film la etait trop confuse le sort du heros etait incertains).

Pensez-y et vous verrez que beaucoup de film suivent cette formule (Raiders of the Lost Ark, Star Wars, Terminator, Aliens, Titanic, etc....)

Euh... on parle tu des mêmes navets des années cinquante la? Ce que c'est film la apportait c'était un insouciance et justement une légèrté en tant de guerre froide après la deuxième guerre mondiale. C'était des films produits a petit budget, baclé rapidement destiné a un publique de ciné-parc occupé a d'autres choses...

Les films de Cushung produit par le studio Hammer en grande-bretagne on été produit a la fin des années soixante et au début des années soixante-dix.

Eux aussi était produit avec des petits budget mais bénificiat de scénario un peu mieux élaborer. Aussi les thèmes de la mort, de la torture et de la sexualité etait abordé de façon implicite et plus direct. Mais c'est loin d'être des oeuvres cinematographique. En générale les plans de caméra sont statique et la photograohie est mornes et sans couleurs ou profondeurs.