Re : You always follow the hoes, just like in Montreal, huh?
Je suis d'accord avec Vavish, la réputation de Montréal comme étant une ville où il fait bon vivre, une ville où il est possible de faire la fête plus tard que dans d'autres régions du pays ou du continent, n'est plus à faire.
Un exemple parmi tant d'autres: lors de la tenue du Grand Prix de Formule 1, les bars de danseuses sont remplis à pleine capacité, et plusieurs personnalités étrangères s'y retrouvent. Pourquoi? Parce que nulle part en Amérique du Nord on ne peut retrouver le même type de bar de danseuses.
Autre exemple: où vont les jeunes gens d'Ottawa lorsqu'ils veulent faire la fête dans les bars? De l'autre côté de la rivière au Québec, là où les heures d'ouvertures sont plus longues. Et où viennent les jeunes américains du nord-est des États-Unis qui veulent prendre leur première brosse? À Montréal puisque l'âge pour boire est de 18 ans au lieu de 21 ans.
La réputation du Nightlife de Montréal n'est plus à faire.
Certes, ce n'est peut-être pas la façon la plus intéressante de voir sa ville exportée à travers le monde que de la voir décrite au sujet de ses travailleuses du sexe, mais il ne faut pas tomber dans les attaques gratuites et en déduire que les concepteurs du jeu vidéo ne cherchent qu'à coller une étiquette méprisable à une ville francophone... Vous voulez défendre le fait français en Amérique? Trouvez un terrain plus sérieux que ça...
(En commençant par s'attaquer à la qualité du français écrit et parlé: on doit combattre en montrant l'exemple, non pas seulement en critiquant le supposé "assaillant" anglophone... À la base, nous sommes les premiers responsables de notre survie. Vivons notre langue, apprécions-là, et amenons les nouveaux arrivants à l'aimer également, c'est là où devrait se situer notre priorité.)
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